Un seul médicament semble prévenir certaines complications et réduire la mortalité chez les personnes atteintes du diabète de type 2, estime la revue Prescriredans son numéro de décembre.


"On ne connaît pas de médicament qui guérisse le diabète", rappelait la revue en juillet dernier. "La prise en charge du diabète de type 2", réitère-t-elle ce mois-ci, "vise à éviter ou à retarder la survenue de complications graves, parfois mortelles. Elle repose d'abord sur des mesures diététiques et de l'exercice physique."

Lorsque le recours à un antalgique de ce niveau est justifié pour le traitement de la douleur, notamment après l'échec du paracétamol seul (acétaminophène, de niveau 1), mieux vaut préférer la codéine, dont la balance bénéfices-risques est la plus acceptable, malgré ses limites, au tramadol, considère la revue Prescrire dans un article mis en ligne le 1er mars.
Le tramadol est à éviter, en raison notamment d’un surcroît de troubles neuropsychiques (dont des convulsions), respiratoires et cardiovasculaires, et d’hypoglycémies, indique la revue. Le tramadol est non associé dans Biodalgic, Contramal, Monoalgic, Monocrixo, Topalgic, Tramadol, Zamudal, Zumalgic. Il est associé au paracétamol dans Ixprim et Zaldiar.
La codéine est associée au paracétamol (Algicalm, Codoliprane, Dafalgan codéïne, Efferalgan codéïne, Klipal codéïne, Migralgine, Prontalgine) ou à l'aspirine (Sédaspir) ou seule (Codenfan).
L'article se réjouit du retrait du Di-Antalvic. « Outre la dépendance à un opioïde, elle (l'association des deux molécules) expose à des risques disproportionnés : convulsions ; troubles cardiaques, en particulier chez les personnes âgées et les insuffisants rénaux. Des décès, même en cas de faibles surdoses suite à une intoxication volontaire ou non, ont ainsi été rapportés », résume l'article.

Diabète de type 2 : le médicament à choisir selon Prescrire

Un seul médicament semble prévenir certaines complications et réduire la mortalité chez les personnes atteintes du diabète de type 2, estime la revue Prescriredans son numéro de décembre.


"On ne connaît pas de médicament qui guérisse le diabète", rappelait la revue en juillet dernier. "La prise en charge du diabète de type 2", réitère-t-elle ce mois-ci, "vise à éviter ou à retarder la survenue de complications graves, parfois mortelles. Elle repose d'abord sur des mesures diététiques et de l'exercice physique."

Lorsque le recours à un antalgique de ce niveau est justifié pour le traitement de la douleur, notamment après l'échec du paracétamol seul (acétaminophène, de niveau 1), mieux vaut préférer la codéine, dont la balance bénéfices-risques est la plus acceptable, malgré ses limites, au tramadol, considère la revue Prescrire dans un article mis en ligne le 1er mars.
Le tramadol est à éviter, en raison notamment d’un surcroît de troubles neuropsychiques (dont des convulsions), respiratoires et cardiovasculaires, et d’hypoglycémies, indique la revue. Le tramadol est non associé dans Biodalgic, Contramal, Monoalgic, Monocrixo, Topalgic, Tramadol, Zamudal, Zumalgic. Il est associé au paracétamol dans Ixprim et Zaldiar.
La codéine est associée au paracétamol (Algicalm, Codoliprane, Dafalgan codéïne, Efferalgan codéïne, Klipal codéïne, Migralgine, Prontalgine) ou à l'aspirine (Sédaspir) ou seule (Codenfan).
L'article se réjouit du retrait du Di-Antalvic. « Outre la dépendance à un opioïde, elle (l'association des deux molécules) expose à des risques disproportionnés : convulsions ; troubles cardiaques, en particulier chez les personnes âgées et les insuffisants rénaux. Des décès, même en cas de faibles surdoses suite à une intoxication volontaire ou non, ont ainsi été rapportés », résume l'article.

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